PS: je suis ce blog assez régulièrement; par rapport à la crise grecque, je voulais juste vérifier les chiffres donnés, car, voyez-vous, sauf à parler clairement d’arnaque, rien ne justifie un taux d’intérêt sur des obligations à deux ans de 91% ou 28% sur 10 ans (en 2011 pour la Grèce à ma connaissance), surtout lorsque l’on tient en plus compte du passage en catimini (pour la majorité des populations) de créanciers privés à d’autres, publiques.Je voulais donc juste vérifier si mes chiffres étaient faux ou que je commettais une erreur de raisonnement, ou bien si cette « crise » consiste bien à faire engraisser certains au détriment des citoyens.